Je veux à présent rappeler ce que cette loi n'est pas.
Elle n'est pas une entrave aux croyances ou à la pratique des religions. Il ne s'agit pas de demander à nos concitoyens de croire ou de ne pas croire, de croire un peu ou modérément : ce n'est pas l'affaire de la République. N'en déplaise au Rassemblement national, celui qui exclut l'autre à raison de la pratique de sa religion, de sa culture, ou de son identité,…