Georges Clemenceau disait : « […] faut savoir ce qu'on veut ; quand on le veut, il faut avoir le courage de le dire, et, quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire. » Si nous voulons que Marianne, abandonnée par tant de renoncements et de lâchetés, redresse la tête, il faut en effet du courage. Cette loi n'en manque pas, face à ce séparatisme, mais aussi face à l'entrisme des ennemis de la République, prêcheurs de haine et promoteurs d'une société fondée sur le rejet de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen et de tous nos principes fondamentaux.
En parlant de courage, je ne peux pas conclure sans parler de tous ceux, dessinateurs, journalistes, écrivains, artistes, enseignants, juges, policiers, citoyens de tous horizons et de toutes professions…