Vous me rétorquerez que ce n'est pas une interdiction, mais un régime d'autorisation : cela revient au même. Lorsque l'on examine les pratiques sur le terrain, les chiffres parlent d'eux-mêmes. Les chiffres accessibles, devrais-je préciser, car malgré plusieurs demandes, ni le directeur général de l'enseignement scolaire (DGESCO) ni le ministre de l'éducation nationale ne m'ont communiqué de chiffres officiels.