Au moment où je vous parle, le parquet et la police judiciaire sont réunis afin de savoir quel service enquêteur permettra de confondre les intéressés et de les faire condamner.
Vous voyez, monsieur Guiraud, mieux vaut parfois travailler que de crier et de s'exciter ; il est vrai que les services de renseignement ont besoin de confidentialité, de secrets qui ne se retrouvent pas tous les jours dans l'actualité politique. Je n'ai donc aucune leçon à recevoir de votre part, pas même en matière de liens avec les extrêmes.