Monsieur le ministre de l'intérieur, nous avons découvert que vous nous accusiez d'être complices de terrorisme intellectuel. Naïvement, nous avons pensé qu'il s'agissait d'un poisson d'avril, même s'il n'aurait pas été dénué d'une certaine sincérité, puisque tout travail intellectuel semble effectivement vous terroriser.