À la suite du dépôt de plainte, les femmes et les enfants victimes de violences intrafamiliales ressentent souvent un sentiment d'abandon. À Brest, un lieu d'accueil sera ouvert cette année et l'une de ses principales missions sera de suivre l'avancement des dossiers, en se renseignant au cas par cas auprès du tribunal ou de la police. Étant occasionnellement saisie de telles affaires, il m'arrive moi-même de le faire. J'en perçois donc la nécessité. Pensez-vous pouvoir apporter des solutions à ce problème, qui met psychologiquement en difficulté les personnes concernées ?