Une information nous a beaucoup troublés lorsque nous sommes allés à Arles et à la lecture du rapport de l'Inspection générale de la justice. Outre que le scénario des caméras n'était pas celui des salles d'activité, le bilan de la vidéosurveillance fait état d'un défaut de formation des agents pour mobiliser l'outil ainsi que d'un problème de paramétrage le jour des faits : même si l'agent en fonction au poste d'information et de contrôle (PIC) du bâtiment avait cliqué sur un autre scénario pour voir la salle de sport, d'autres images que celles attendues seraient apparues. Disposez-vous d'informations à ce sujet ?