L'inspection du travail a contrôlé toutes les plateformes de mobilité. Nous n'estimons donc pas avoir failli. La demande effectuée auprès de l'inspectrice du travail consistait à pouvoir bénéficier de dispositions du code du travail. Or ce code du travail exige bien l'existence d'une relation contractuelle entre l'employeur et le travailleur, ce qui n'était pas le cas en l'occurrence. Enfin, l'inspection du travail a connu une baisse d'effectifs au même titre que tous les services de l'État.