Je n'ai pas connu, durant mon mandat, de prix de marché supérieur à 42 euros. Le prix de l'énergie, dont la faiblesse était liée à la récession passée et à la faible croissance – un facteur qui explique aussi les projections de RTE en matière de consommation d'électricité –, n'était d'ailleurs pas une contrainte. Or le mécanisme de l'Arenh s'avère particulièrement pervers quand le prix de l'électricité s'élève, comme pendant la crise que nous venons de traverser.