L'article 18 bis propose de favoriser la reconnaissance des taxis accessibles aux personnes à mobilité réduite par le biais d'un signe distinctif attestant cette accessibilité. Cette avancée est le fruit de notre travail en commission ; c'est une bonne chose.
Par cet amendement, le groupe écologiste propose d'aller plus loin – ce qui n'est pas très difficile puisque, sur la question, le texte ne va nulle part. Le recours aux taxis dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques est à l'image du manque d'anticipation total et du retard de l'État sur les questions d'accessibilité dans les transports. Notre responsabilité est d'utiliser les Jeux olympiques pour autre chose que pour des mesures sécuritaires,…