C'est la même logique pour les journalistes. Si nous forçons le trait, il suffirait de présenter une carte de presse factice pour passer au travers des criblages. Ce ne serait pas à la hauteur de l'exigence de sécurité qu'attendent de nous les Français dans l'organisation des Jeux et, plus largement, pour la tenue de nos compétitions sportives.