Nous souhaitons que parmi les députés et sénateurs associés à l'évaluation des dispositifs de vidéosurveillance, certains appartiennent réellement à l'opposition. Pour l'instant, le texte prévoit simplement que « l'évaluation associe deux députés et deux sénateurs, dont au moins un député et un sénateur appartenant à un groupe d'opposition, désignés respectivement par le président de l'Assemblée nationale » – en l'occurrence, il s'agit d'une présidente – « et le président du Sénat ».