Je disais donc – en espérant, madame la présidente, pouvoir poursuivre dans le calme – que mettre en place des outils dangereux pour les libertés publiques et pour l'État de droit ne doit pas se faire comme le propose l'article 7. Il y a toujours un prétexte : ici, ce sont les Jeux olympiques, dehors, on prend le prétexte de quelques vitrines cassées pour matraquer des étudiants ou pour nasser un gamin de 1 an. Demain, quel sera le prétexte pour appliquer la vidéosurveillance algorithmique ?