Mettons en place, au contraire, un protectionnisme solidaire et écologique, clé d'un modèle économique, alimentaire et industriel vertueux et d'une amélioration des conditions de vie des agriculteurs et des consommateurs.
Bâtissons, enfin, ce que devrait être une vraie loi Egalim : la garantie d'une rémunération juste pour nos paysans et la possibilité pour les citoyens de se nourrir correctement sans sacrifier le reste.