Si l'on évalue l'impact de la revalorisation du RSA et du relèvement du point d'indice de 3,5 %, on arrive déjà en année pleine à 2,7 milliards – c'est-à-dire 2,3 milliards pour les rémunérations et 400 millions pour le RSA, puisqu'il représente un budget d'environ 10 milliards. Reste le problème énergétique, visé dans l'amendement n° 920 du rapporteur général, qui représente approximativement 1 milliard ou 1,5 milliard. Si l'on additionne ces trois postes, on en arrive en année pleine à environ 4 milliards.
Un fonds spécifique de 150 millions permet-il de faire face à un besoin, en année pleine, de 4 milliards ?