Monsieur le président, je me fonde sur l'interprétation de l'article 9 de l'instruction générale du bureau relative à l'interdiction de téléphoner dans l'hémicycle. Si la décision que vous évoquez était si claire, elle aurait donné lieu, comme pour le port de la veste, à une modification de l'instruction générale du bureau et non pas seulement à une interprétation d'un de ses articles. Cela n'a pas été fait car une modification textuelle de l'instruction serait soumise à l'appréciation du Conseil constitutionnel qui examinerait la question du point de vue de la liberté de parole des parlementaires, qui est sacrée dans l'hémicycle – vous le savez bien et je suppose que vous la défendez.