L'objet du rapport envisagé nous paraît mal défini et, du reste, cette évaluation relève plutôt des industriels et du régulateur que du Gouvernement. Par ailleurs, le délai proposé ne permettra aucun retour d'expérience dans l'hypothèse où une nouvelle génération d'EPR2 devrait être lancée à la suite des arbitrages définis dans la loi de programmation.