Mon intervention a vocation à contribuer à la sérénité de nos débats.
Tout parlementaire dispose de la légitimité pour y participer, qu'il soit membre ou non de cette commission. J'ai moi-même pris part aux discussions sur la réforme des retraites au sein de la commission des affaires sociales, dont je ne suis pas membre – et je vous assure que je n'ai pas épargné sa présidente. Mais j'ai joué mon rôle d'opposant dans le respect.
Il est bon pour la démocratie que nos collègues Écologistes et de La France insoumise expriment un avis différent de celui de la majorité – et quelquefois aussi du mien – sur la question essentielle de l'avenir énergétique de la France. On doit pouvoir échanger des arguments pour trouver le meilleur chemin sans se caricaturer.