Ceux qui souhaitent relancer coûte que coûte le nucléaire sont manifestement conscients d'un flou technologique, ce qui ne les empêche pas de vouloir accélérer. Devant la commission d'enquête visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France, M. Jean-Marc Jancovici s'en est lui-même fait l'écho à propos de l'exploitation de l'uranium 235 et de l'uranium 238.