Madame la rapporteure, je vous remercie de reconnaître que le droit européen nous empêche de développer l'économie française.
J'ai plusieurs exemples dans ma circonscription d'entreprises spécialisées dans la fonderie ou la tuyauterie dont l'activité a décliné du fait de l'arrêt programmé de la filière nucléaire et qui ne sont plus compétitives face à des entreprises étrangères qui, elles, ont conservé leurs compétences et leurs ressources humaines. Il faut appliquer la priorité nationale pour laisser le temps aux entreprises françaises de se reconstituer.