Nous avons déjà largement parlé, hier, des enjeux démocratiques. Les débats publics continueront évidemment. Par ailleurs, les dernières élections, présidentielle comme législatives, ont permis aux différentes opinions de s'exprimer et notre assemblée a pleine légitimité pour débattre de ces questions.
Sur le fond, je répète ce que j'ai dit hier : si nous devions fixer des plafonds pour certaines énergies, cela devrait concerner les énergies fossiles, mais aucunement des énergies décarbonées qui servent tant le climat que notre souveraineté.
Par conséquent, avis défavorable.