Madame la rapporteure, je vous confirme que nous sommes plusieurs à avoir des réticences quant au nucléaire. C'est même une opposition franche et argumentée. Le recyclage des déchets, le besoin d'eau, le réchauffement climatique sont autant de nouvelles données qui interdisent d'envisager un nouveau plan Messmer. Au passage, rappelons que le phénomène de corrosion sous contrainte n'a pas été découvert inopinément : il est connu et identifié depuis 1984, le premier incident ayant eu lieu à la centrale du Bugey. Quand toutes ces questions recevront-elles des réponses ?