Il est important d'envoyer des signaux rassurants aux 1 700 salariés de l'IRSN, notamment en termes de statut. C'est ce que nous faisons, en leur expliquant qu'il n'est pas question de démanteler l'Institut. Nous sommes trop attachés au contrôle et à la sûreté nucléaire. L'expertise et la recherche forment un bloc et ont vocation à compléter le contrôle.