À plusieurs reprises depuis ce matin, l'attentat de Nice – il faudrait en fait parler de l'attentat de la promenade des Anglais – a été évoqué. Le procès qui s'est tenu devant la cour d'assises spéciale n'est malheureusement pas parvenu à dissiper toutes les zones d'ombre : certains éléments ne seront jamais connus. J'invite donc les personnes qui font référence à cet attentat à utiliser parfois le conditionnel, par égard pour les victimes et leurs proches.