Nous ne sommes pas d'accord. Pour nous, il s'agit bien de disposer des outils technologiques qui permettent de mieux protéger des lieux et des personnes, avec des garanties pour préserver les libertés publiques. Nous allons en débattre dans cette commission pendant un certain temps.
Ces technologies ont prouvé leur efficacité à de nombreuses reprises – nous y reviendrons.
Le choix des mots est politique, et je fais un tel choix en demandant le maintien du terme « vidéoprotection ».