Il faut que ce soit clair : je ne parle pas aux commissions ; les décisions, je le répète, je les prends en mon âme et conscience, au vu des éléments du dossier. Mais je vous rejoins sur ce point : il faut purger la théorie du complot. Ce qui, en revanche, constitue un dysfonctionnement grave, c'est ce qui s'est produit à Arles. Incontestablement.
Concernant l'application des règles qui régissent le statut de DPS, je vous ai donné les raisons qui ont fait évoluer ma position, en l'occurrence les faits très graves de mars 2022. Avant cela, il me semble que les règles ont été appliquées sur la base de critères rationnels. On peut ne pas être d'accord avec moi, mais ce que je peux garantir est que c'est moi, pas un autre, qui ai pris ces décisions. Je ne suis animé par aucun esprit de vengeance et, je suis d'accord avec vous, il faut enlever ces idées de complot de l'esprit de chacune et de chacun.
Cela étant dit, pour ce cas particulier et pour d'autres, est-ce que cette procédure de répertoire DPS est parfaite ? Sûrement pas. Est-ce qu'il faut l'améliorer ? Comme m'y invitait M. le rapporteur, je me suis essayé à quelques propositions. Mais l'application des règles existantes au cas d'espèce, encore une fois, ne me paraît pas, et je veux que vous en soyez convaincus, relever d'autres sentiments, dimensions ou objectifs que ceux dont j'ai rendu compte devant votre commission.