Il considérait que M. Elong Abé était psychiquement atteint et trop dangereux, au point de déstabiliser des séances de QER. Mais une telle interprétation n'est pas conforme aux textes relatifs au rôle des QER tel que rappelés par l'IGJ.
D'après vous, cet individu aurait-il dû passer en QER, au regard des process et de la politique mise en œuvre depuis 2015 ? Réglementairement parlant, le point soulevé par l'Inspection sur l'avis très réservé du PNAT vous paraît-il judicieux ?