Lors de ses vœux aux armées, le chef de l'État a évoqué la nécessité d'un « pivot vers la haute intensité », ce qui implique de conserver une supériorité informationnelle. C'est d'autant plus nécessaire que nos compétiteurs sont en passe d'obtenir des ruptures technologiques dans des domaines tels que l'informatique quantique ou l'intelligence artificielle. Pouvez-vous nous apporter des précisions quant à la hausse des crédits dans le champ informationnel et dans le domaine de la guerre du numérique ? Pour faire écho à la situation au Burkina Faso, comment notre pays comblera-t-il ses lacunes dans la lutte contre les campagnes de désinformation ?