Ces déclarations désagréables lues dans la presse sont de source anonyme et n'appellent donc pas, à mes yeux, de commentaire particulier. Je crois avoir pratiqué l'apaisement en me rendant au Maroc mi-décembre avec un certain nombre de dossiers que nous avons évoqués, dont celui qui permettait de constater que, d'un côté comme de l'autre, nous reprenions des relations consulaires normales. Je souhaite, pour ma part, continuer à pratiquer le même apaisement.
À ma connaissance – mais nous vérifierons les chiffres –, la politique concernant les visas n'a pas permis d'augmenter sensiblement le taux de réadmission, ni dans ce pays, ni dans un autre. C'est ce constat qui a conduit à une évolution de notre position.