Les torts sont probablement partagés mais dans une telle situation, soit on ne fait rien, soit chacun essaie de faire un pas vers l'autre. Certaines choses ont pu irriter le Maroc, comme le fait d'être mis constamment sur un pied d'égalité avec l'Algérie en ce qui concerne les visas, alors que le taux de délivrance des laissez-passer consulaires et celui des reconductions ne sont pas du tout les mêmes pour les deux pays. Je pense aussi au vote du groupe Renew, qui représente la majorité présidentielle, au Parlement européen.