Je souhaite répondre à M. Potier au sujet du stockage subsurfacique. Les analyses effectuées lors de la préparation du plan national de gestion des déchets et lors du débat public qui l'a précédée ont mené à la conclusion que cette méthode est moins sûre que le stockage en profondeur, car les déchets sont alors plus proches de la surface – M. de La Palice n'aurait pas dit mieux. Cette solution s'appuie sur une documentation assez fournie, ce qui explique notre choix de privilégier l'approche de Cigéo.
Je tenais à éclairer cet aspect de la question, mais cela n'enlève rien à la position de Mme Laernoes, qui reste bien sûr libre de retirer ou non l'amendement.