Il ne faut pas injurier l'avenir : je me permets de penser que nous progressons. Par ce texte – et nous vous invitons à nous rejoindre sur ce point –, nous avons d'ailleurs l'intention d'encourager une meilleure gestion du nucléaire, menant à une moindre production de déchets, voire peut-être à réutiliser demain les matériaux que nous appelons aujourd'hui des déchets et qui constitueront alors une source prioritaire d'énergie.