Le Sénat avait allongé la durée d'application des mesures de simplification, la faisant passer d'abord de quinze à vingt ans – en commission –, puis de vingt à vingt-sept ans, en indiquant à juste titre que les prévisions en matière d'énergie sont faites à l'horizon 2050. Ce projet structurant pour la filière nucléaire a besoin de visibilité à long terme ; le présent amendement, déposé par notre collègue Mme Blin, vise donc à revenir à la durée d'application adoptée par le Sénat.