Dans le même esprit, il vise à ramener de 2050 à 2035 la date de caducité des dispositions du titre I concernant les demandes d'autorisation relatives à la création d'une installation nucléaire de base. Les besoins électriques futurs, le retard pris en matière de sobriété dans le bâtiment et les transports et celui existant dans le déploiement des énergies renouvelables font qu'il sera particulièrement difficile d'atteindre un mix énergétique composé à 100 % d'énergies renouvelables à l'horizon 2050.