La recherche menée par l'IRSN participe des activités de l'Autorité de sûreté nucléaire ; par construction, l'IRSN est gréée pour répondre aux multiples questions qu'est amenée à traiter l'ASN.
Cinquièmement, il y a la question de la communication. Là encore, je le dis sans ambiguïté, il faut de la transparence : la décision devra faire l'objet d'une piste d'audit et les avis d'expertise devront être publiés. De même, il faudra que l'Autorité de sûreté nucléaire, dans sa version élargie et enrichie par l'expertise de l'IRSN, assume ses missions de communication auprès du public, ce qu'elle fait déjà assez naturellement.
La sixième question est celle de l'attractivité des métiers et des compétences. Je me permets de signaler que cette question est pendante depuis vingt-quatre mois ; ce n'est donc pas l'annonce de cette évolution qui a poussé certains membres du personnel de l'IRSN à partir. La question doit être traitée dans le cadre de cette réforme. Comment renforcer l'attractivité de ces métiers ?