La différence, c'est qu'au lieu de payer 4 milliards d'euros chaque année, comme nous le proposions, Total, qui est, avec les pays producteurs, l'un des bénéficiaires de la spéculation organisée sur le carburant, ne contribuera finalement qu'à hauteur de 500 millions d'euros – et encore, selon son bon vouloir. Sachant que le carburant va continuer à augmenter, Total va continuer d'engranger des bénéfices et, in fine, récupérera très largement ses 500 millions d'euros.