Il est identique au précédent, pour les mêmes raisons : le rapport dont il est question devra être rendu avant le dépôt de la future loi de programmation sur l'énergie et le climat (LPEC), c'est-à-dire d'ici quelques mois. Au-delà des sites déjà connus, je ne suis pas certaine qu'EDF et l'État soient en mesure de se prononcer sur l'emplacement des huit réacteurs EPR2 qui restent à l'étude. Il me paraît donc relativement irréaliste de leur demander de dresser une telle liste dans un délai aussi court.