Disons-le clairement : la baisse des effectifs a d'abord été le fait de l'échelon déconcentré, et non de l'administration centrale. Nous avons le sentiment – et j'avais d'ailleurs réalisé, à la demande de M. Darmanin, un rapport sur les sous-préfectures – que l'on a exagérément désarmé l'État déconcentré.