Alors oui, nous voulons cette réforme par responsabilité vis-à-vis des retraités d'aujourd'hui et des jeunes générations, qui n'ont pas à porter la charge des inconsciences passées. En outre, pour être plus acceptable, la réforme sera étalée dans le temps.
Madame la Première ministre, nous devons aussi, c'est notre rôle, rassurer les Français et leur donner des garanties quand nous leur demandons de travailler plus longtemps. Qu'en est-il des mesures destinées à ceux qui ont commencé à travailler tôt ? La prise en compte de la pénibilité – des pénibilités, devrais-je dire – est-elle garantie, en particulier pour les carrières « actives » ?