Il vise à accélérer les procédures, conformément à l'objectif visé par le projet de loi. Actuellement, la création d'une nouvelle centrale est soumise à deux autorisations administratives : une autorisation initiale, puis une autorisation d'exploiter remise au plus tard dix-huit mois avant la livraison finale. Ce délai nous semble trop long, d'autant que la seconde autorisation peut faire l'objet de recours. Aussi proposons-nous de ne retenir que la première autorisation administrative – étant entendu qu'un programme de mise en service répondant aux normes de l'Agence internationale de l'énergie atomique doit être respecté. Les procédures sont déjà abondantes ; elles peuvent être quelque peu simplifiées.