Il est en effet très précisément indiqué que « sont qualifiés d'exceptionnels les bénéfices supplémentaires observés entre les résultats enregistrés d'une part aux troisième et quatrième trimestres de l'année 2019 et, d'autre part, ceux observés aux troisième et quatrième trimestres de l'année 2021 ».
Je crois que nombreux sont, dans nos rangs, ceux qui souhaitent que les entreprises qui, volontairement ou involontairement, ont bénéficié de la crise et qui ont enregistré ce que l'on appelle des superprofits contribuent aux mesures que nous souhaitons prendre pour soutenir le pouvoir d'achat. J'ai entendu hier des collègues sur les bancs de la NUPES défendre la même idée.
Un pays proche du nôtre a procédé à la taxation des superprofits : la Hongrie !