et les tâches de maintenance exposent nécessairement les agents aux rayonnements. Comment expliquer, d'ailleurs, que les sous-traitants reçoivent 80 % des doses annuelles radioactives ?
L'adjectif « propre » ne sied pas davantage à une industrie qui produit chaque année des milliers de tonnes de déchets radioactifs, pour le traitement desquels il n'existe toujours aucune solution.