Nous sommes particulièrement inquiets d'un potentiel changement de doctrine dans l'appréciation du risque.
Il faut rappeler que le nucléaire repose sur un certain nombre de mythes, et son éventuelle relance sur des paris risqués.
Il y a d'abord le mythe de la souveraineté. De fait, l'uranium ne pousse pas dans nos jardins : il nous vient de pays comme le Niger, le Kazakhstan ou la Russie.