Certaines femmes ont effectivement envie d'en parler, de s'exprimer, mais rien ne les empêche de le faire dans le cadre d'un arrêt maladie. Si nous instaurions le droit que vous évoquez, nous prendrions un risque : des femmes pourraient être amenées à le refuser, précisément pour ne pas parler de leur fausse couche.