Sur la question de la flax tax, je partage la position de Christine Pires Beaune ; quant à la question du taux, je n'y reviens pas. Ces amendements ont davantage leur place dans un PLF, puisque le problème est non le fermage, qui est encadré par des arrêtés préfectoraux, mais le statut du fermage, qu'il faudrait le réformer, car il provoque des rétentions de terres. Lors du dernier quinquennat, Jean-Bernard Sempastous a été à l'origine d'un texte portant sur le contrôle des sessions de terres et sur le risque de la financiarisation des terres agricoles en France, ce qui est un vrai débat.