Nous regrettons que le droit à la protection du corps des enfants ne soit pas envisagé comme une priorité éducative partagée par les jeunes et les familles, ainsi que par l'ensemble des éducateurs et acteurs agissant aux côtés notamment des jeunes accompagnés. Une grande campagne publique médiatique aurait pu être envisagée. Nous voterons ce texte, avec l'espoir que notre demande d'une vision plus large de la question, tant évaluative que prospective, puisse être prise en considération par le rapporteur, par l'ensemble des groupes et, plus particulièrement, par le Gouvernement.