C'est ce que vous suggérez lorsque vous parlez d'accélérer les délais. Suffit-il qu'un des parents soit étranger pour que le droit à l'allocation ne soit pas ouvert ? C'est ce que vous affirmez.
Je suis désolé, chers collègues du Rassemblement national : non seulement vous n'avez pas de cœur mais vous n'avez honte de rien. Vous continuez, par votre défense indigne, à jeter l'opprobre sur l'amendement. Vous placez les familles dans une situation de grande précarité ! J'espère que jamais vous n'arriverez au pouvoir…