Vous ne le dites pas comme ça, mais c'est bien ce à quoi se résume votre sous-amendement. Pour qu'on comprenne bien : ces parents confrontés à la maladie de leur enfant, vous proposez juste de les jeter dans la précarité, comme si ce qu'ils vivaient n'était déjà pas assez douloureux. Selon vous, ces parents, pourtant en situation régulière et qui ont une activité, ne peuvent pas bénéficier de cette mesure. Vous allez donc mettre en difficulté ces parents, et leur enfant ! Je pensais avoir tout entendu mais j'avoue que la lecture de ce sous-amendement m'a laissé sans voix… Simplement, j'avais oublié que, chez vous, l'inhumanité est sans limite.