Nous abordons là un sujet sensible, difficile : aucun jour de congé de plus ou de moins ne saurait consoler d'avoir perdu un enfant. Je regrette que nous examinions cette proposition dans un contexte qui n'est pas le sien. Certes, aucun argument ne s'y oppose, et l'on ne peut qu'être d'accord ; néanmoins, après avoir entendu l'avis du rapporteur, je m'en remets à la sagesse de l'Assemblée.