Je salue la verve de notre collègue, mais elle n'arrivera pas à entamer notre bonne humeur.
Tout d'abord, je souhaite rappeler, comme je l'ai fait en commission, que j'arrive ici non seulement avec de la détermination, mais aussi avec beaucoup d'humilité. Lorsqu'on propose un texte à la représentation nationale, il faut être humble. J'ai conscience de la difficulté de rendre ces dispositifs non contournables et je pense qu'il y a des améliorations à apporter au texte, qui n'est pas l'alpha et l'oméga. Je l'ai déjà dit et je continue de le dire.
Deuxièmement, vous avez fait référence à un sujet sérieux, celui de l'image des enfants, qui doit appeler toute notre attention. Comme vous l'avez dit vous-même, nous débattrons bientôt d'une proposition de loi de notre collègue Bruno Studer sur le sujet.
Enfin, mon cher collègue, vous êtes bien placé pour savoir que, dans les familles politiques, ce n'est jamais facile : on l'a vu aussi chez vous.